Paysages de Guerre

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La guerre est un sujet qui a été abordé par maintes représentations d'art à travers l'histoire, y compris dans la mémoire canadienne. Les artistes ont longtemps été fascinés par les lieux en proie aux combats, qu'il s'agisse d'une simple bataille ou de scènes ayant succédé à des affrontements. Voici un développement complet sur les paysages de guerre représentés dans la peinture.

Un paysage de guerre inoubliable : la bataille de Passchendaele

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La bataille de Passchendaele a été l'une des plus meurtrières de la Première Guerre mondiale et occupe une place centrale dans l'histoire militaire du Canada. De juillet à novembre 1917, les forces alliées — dont les troupes britanniques et, surtout à l'automne, le Corps canadien — se sont affrontées à l'armée allemande dans les Flandres belges. L'histoire relate les affrontements et les bombardements qui ont eu lieu dans un environnement hostile, sur des terrains boueux. Longtemps après ces faits, les écosystèmes et la nature ont porté les impacts de ces joutes meurtrières.

Le nom de Passchendaele est synonyme de carnage, et il résonne fortement au Canada. En effet, ce fut une confrontation particulièrement meurtrière, où les pertes de vie furent innombrables des deux côtés. Ce paysage de guerre demeure marquant pour la mémoire collective canadienne, au point d'être évoqué chaque Jour du Souvenir, car les adversaires n'ont pas hésité à se livrer un jeu de bataille malgré la pénibilité de l'environnement. Les raisons principales du massacre furent justement les conditions météorologiques défavorables et le terrain boueux, qui rendait les combats extrêmement difficiles.

Un certain nombre d'artistes ont évoqué entre autres dans leurs peintures les scènes où les troupes canadiennes, aux côtés des forces britanniques, ont subi des bombardements allemands. Malgré ces conditions difficiles, les récits retiennent que le Corps canadien a mené l'assaut final et a pris le contrôle de Passchendaele en novembre 1917.

La peinture de guerre : des destructions de patrimoine aux dénonciations de l'ennemi

A travers ses nombreuses conséquences, la guerre a longtemps été un sujet de préoccupation pour les artistes et les historiens. Elle a été une occasion qui a permis à de nombreux professionnels de développer leurs talents et de se révéler au monde. Pablo Picasso, Eugène Delacroix, tout comme des artistes canadiens tels qu'A. Y. Jackson et Frederick Varley (membres du Groupe des Sept), figurent parmi les personnages qui ont eu à se prononcer sur ce thème au travers de leurs célèbres créations.

Ces grands peintres ont su se servir de l'art pour mettre en évidence une réalité très triste. Dans leurs œuvres, les peintures de guerre ont souvent été utilisées comme un moyen de documenter les conflits et leurs conséquences. Elles ont également servi à dénoncer l'ennemi et à célébrer les victoires.

Au cours des siècles, les peintures de guerre ont souvent été des témoins indirects des conflits qui se déroulaient dans le monde. Elles ont laissé en héritage aux générations futures des preuves de ce que ces affrontements avaient été et comment ils avaient affecté la vie des peuples. Les peintures de guerre ont également été utilisées comme une forme d'art propagandiste.

Les artistes ont souvent cherché à faire prendre conscience du mal que de telles oppositions meurtrières avait fait subir aux civils. Ils ont également voulu montrer l'engagement, l'abnégation des soldats à combattre et gagner, au nom de la justice.

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La guerre : scènes de ruines marquant les paysages et les mémoires

Les contrées frappées par la guerre restent fortement impactées par des paysages de ruines. En réalité, la quasi-totalité des guerres détruisent considérablement l'environnement et ses écosystèmes. Les bâtiments sont détruits, les végétaux et les espèces fauniques sont abattus, la terre est couverte de cratères. Au plan humain, les hommes et les femmes sont blessés, les enfants sont orphelins.

Les paysages de guerre sont tristes et évoquent essentiellement de la désolation. Les ruines des bâtiments et les corps des soldats sont traumatisants à voir sur certaines représentations artistiques et ce paysage s'est peu à peu invité dans l'univers des jeux et des loisirs, comme on peut le retrouver dans de grands jeux tels que Call of Duty ou encore Contra, qui dépeignent cet univers saisissant. La terre est couverte de sang et de cadavres tués par des lances-flammes. La nature et sa biodiversité sont ravagées, des champs d'horreur sont jonchés de mines.

La photographie de guerre

La photographie de guerre est une forme de photographie avec ses tranchées qui a été popularisée pendant la Première Guerre mondiale. Les photographes de guerre ont pris à l'époque des photos des combats et de scènes de guerre afin de documenter le conflit. Leur rôle est semblable à celui des peintres. La différence se trouve au niveau des archives, qui nourrissent aujourd'hui la mémoire canadienne du conflit.

En particulier, grâce à leurs prises de photos, les photographes font voir les images réelles de la guerre. Par contre, du côté des peintres, le but est plutôt d'user d'imagination et de créativité pour matérialiser des faits. Les photographies-images ont été publiées dans les journaux et les magazines, ce qui a permis de voir ce qui se passait réellement pendant la guerre.

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Au cours de la Seconde Guerre mondiale, la photographie de guerre a évolué et les photographes ont commencé à prendre des photos en couleur. De même, les peintres arrivaient à mieux faire connaître les faits avec des motifs arts en couleurs. Ceci a permis de mieux faire voir les horribles conditions dans lesquelles les soldats vivaient et combattaient. La photographie de guerre a évolué au cours des conflits suivants et elle est maintenant considérée comme un art.

Changement des territoires

L'autre aspect prédominant qu'il faut souligner dans les paysages de guerre concerne les territoires. Au Canada comme ailleurs, ce thème se reflète aussi dans des machines à sous et des roulettes offertes en ligne, notamment sur Millionz, au sein d'un casino en ligne y compris en live, en payant avec iDebit sur un casino canadien. Après les conflits, les dégâts sont multiples et n'épargnent pas les zones de guerre. Les destructions touchent beaucoup plus les immeubles, ce qui change pour longtemps les panoramas urbains dans les pays.

D'après une analyse, en moyenne 20% du parc immobilier est touché lors des conflits moins intenses. Si le conflit est élevé, ce taux peut passer au-delà de 60%. Lors de la Première Guerre mondiale, ce chiffre s'élevait à plus de 80%. Cela témoigne pourquoi les paysages de guerre relatant cet affrontement demeurent des scènes inoubliables dans les mémoires collectives jonchées par les munitions.